- Plat
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Souris d’agneau au sirop d’érable, carottes nouvelles rôties au cumin
4 personnes
45 min
1 h 25 min
Pour la souris d’agneau :
- 4 souris d’agneau
- ½ c. à café grains de coriandre
- 10 grains de poivre noir
- 1 citron biologique
- 9 c. à soupe d’huile d’olive
- 6 c. à soupe de sirop d’érable
- 3 c. à café de vinaigre balsamique blanc
- 7 c. à soupe de vin blanc
- 10 g de beurre
- 2 têtes d’ail
- Sel
Pour l’accompagnement :
- 12 carottes nouvelles
- 1 c. à café de graines de cumin
- 10 c. à soupe d’huile d’olive
- 1,5 c. à café de graines de cumin
- 750 g de petits pois frais
- 2 c. à café de bicarbonate
- 2 c. à soupe d’huile d’olive
- 4 c. à soupe d’huile de noisette
- Fleur de sel et poivre noir
Et si l’on profitait de ce que nous offre la nature au printemps ? Les carottes nouvelles font partie de ces merveilles qui inspirent à elles seules tout un plat. Enrobées d’un mélange d’huile d’olive et de cumin, elles cuisent lentement au four, et viennent se glisser dans l’assiette aux côtés d’une souris d’agneau parfumée au sirop d’érable et poivre noir. Ails confits et petit pois croquants complètent cette composition aux couleurs vives et aux saveurs d’ici et d’ailleurs.
Un vin de l’A.O.C. Rasteau révèle la richesse gustative de cette recette printanière sans jamais l’écraser. Au nez, il libère des arômes de fruits noirs et de violette. Sa couleur rouge sombre brillante est ici signe d’élégance, à l’image de sa longueur en bouche. Chaque gorgée accompagne en douceur et jusqu’au bout les saveurs du plat. Des notes de garrigue tels que le thym, la sauge ou encore la marjolaine se mêlent aux accents provençaux de l’assiette, sans en renier l’exotisme. Un vin structuré, équilibré, entre suavité et fraîcheur, en phase avec ce plat mariant textures fondantes et croquantes, saveurs sucrées et épicées. Une ode à la mixité !